lundi 1 mai 2017

ÉLECTIONS PIÈGE À CONS : humeur

Ce slogan vieux comme la démocratie ressort ces jours-ci.
Inutile d'en démontrer la pertinence avérée.

Aujourd'hui je préfère pourtant passer pour un con que risquer demain d'être piégé de ne pas avoir voté Macron.

Il va pourtant à l'encontre de mes convictions mais je me refuse à le mettre sur le même plan que Le Pen. Churchill n'était pas Hitler et Clinton n'était pas Trump. Les grands libéraux ne sont pas comparables aux populistes extrêmes dont certains, une fois au pouvoir, ont démontré leur nuisance absolue.

Ceci dit, certains envisagent peut-être l'arrivée d'une fasciste au pouvoir dans l'optique d'un chaos intégral, d'un renversement des institutions voire d'une guerre civile...

A ce jeu, le risque de voir la «démocratie» confisquée reste tout de même important. Êtes-vous joueur ?