samedi 18 juin 2016

SOYONS RÉALISTES ! : Humeur

Je hais toutes les religions qui sont une insulte à l'intelligence et à la raison. Oui, je revendique être un impie et n'avoir que mépris pour toutes ces croyances en ce bidule invraisemblable qui contamine le cerveau et qui n'est rien de moins que la plus grande escroquerie intellectuelle de l'histoire de l'humanité.

Oui, je suis christianohobe, islamophobe, judéophobe, bouddhaphobe, vishnouphobe et donc, plus généralement bidulophobe. Quelque soit le nom qu'on lui donne, il est l'avatar de la face sombre de nos sociétés et sert d'alibi à nos pires exactions.

Les siècles et le temps aurait dû avoir raison de cette déviance de la pensée rationnelle mais il n'en est rien. Une religion s'éteint tandis qu'une autre naît, toujours plus pernicieuse, affolant les hommes et les entraînant aux confins de la raison.

Tant qu'il y aura un dieu entre les hommes ils s'évertueront à se haïr et se détruire pour imposer ce concept colonisateur de l'esprit et de l'espace.

SOYONS ENFIN RÉALISTES, INTERDISONS TOUTES CES SECTES OBSCURANTISTES.

mercredi 15 juin 2016

Esclavage Moderne : humeur


Actionnaire négrier
Du haut de ta tour, méprisant
Tu regardes le petit peuple travailleur
S'agiter chaque instant pour survivre
Et te livrer ton comptant de dividendes
Tu aimes ce monde harmonieux
Qui sépare la misère du pouvoir
La laideur du sublime
Tu te prend pour un prince, un Maître de ce monde
Mais de Prince tu ne possède que l'habit
Et de Maître que l'arrogance
Que l'argent mal-gagné
Et une éducation toxique t'ont offerts
Qu'il est doux d'être puissant
Et jouissif de posséder
Tout et n'importe quoi, pourvu que l'on possède
Des actions, des bagnoles, des femmes
La vie des hommes vaut moins que celle de ton chien
La mort des hommes, un impondérable nécessaire
L'empathie est une faiblesse, une grossièreté
La compassion une faute de goût, une perversion
Ton cynisme n'a d'égal que ton avidité
Mais la violence sociale que tu prônes chaque jour d'avantage
Est un virus qui colonise nos esprits
Nourrit notre colère
Et affûte la lame de la délivrance
Nous sommes tellement, tellement plus nombreux ...

vendredi 3 juin 2016

QUAND LE MEDEF S'ÉCLATE : Humeur


Quand le Medef s'éclate
Les salariés se grattent...
Les patrons ont le vent dans le dos
Ils pensent qu'ils sont dans le sens de la tempête qui s'annonce
Ils sont la tempête
Alors, patiemment, ils détricotent, redétricotent
Chaque année un peu plus le code du travail
L'unique rempart des faibles contre les puissants
La lutte des classes est toujours présente
Elle s'est réveillée violemment
Tout allait trop bien pour les travailleurs
Trop d'avantages, de loisirs, de douceurs
Les actionnaires négriers
Estiment que leurs esclaves son devenus trop gras
Il faut recadrer, légiférer, sanctionner
Sinon où va-t-on...
Bien sûr il faut réformer
Mais dans l'autre sens
Bien évidemment des profiteurs abusent du système
Mais ce sont ceux dont les capitaux s'évadent vers les paradis
Ils disent : l'argent manque !
Fouillez les poches des rentiers
Ils disent : les carnets de commandes sont vides !
Stratégie commerciale pitoyable ou gestion usée ?
Un produit qui se vend est-il nécessairement le produit le moins cher ?
D'ailleurs trop de produits partout
Trop de trucs inutiles,
De machins polluants,
De merdouilles addictives...
Trop de n'importe quoi, partout, à tous les étages
Trop de solitude, de misère, de souffrance
Trop de vulgarité, de bêtise et de haine
Nous dérapons, glissons vers le médiocre absolu
Nous trimons comme des abrutis pour cet idéal moisi
Et nous en redemandons...
Nous sommes incorrigiblement cons
Il serait temps de rendre hommage
À ceux qui se sont battus pour nos maigres droits
Et respecter un peu plus ceux
Qui protestent aujourd'hui pour les maintenir
Cracher sur les grévistes et les syndicats
C'est cracher face au vent
Quand ils nous auront tout repris
Nous serons encore plus faibles pour nous dresser
Et nous mépriserons notre égoïsme passé
Quand le Medef s'éclate...

mercredi 18 mai 2016

dimanche 24 avril 2016

Europe, ma chérie, mon amour : Humeur

Cool,

Bruxelles s'affirme enfin

comme la première place lobbyiste !